mardi 26 avril 2011

La rhétorique en interactivité ?


À ce qui parait, il y aurait des figures rhétoriques dans tout les objets d’interactivité. Vérifions quels sont les composés rhétoriques du panoscope 360. Le composé qui me semble le plus évident est sans contredis le dévoilement.  Avec celui-ci, des éléments apparaissent lorsque l’on explore une zone à l’aide d’un pointeur. C’est exactement le concept du panoscope. À l’aide du pointeur, l’utilisateur peut découvrir des zones en se déplacements dans l’espace.

Aussi, on pourrait considérer que le panoscope contient du dirigisme, composé qui restreint l’utilisateur a s’adapter au mode de fonctionnement de l’automate. Parfois, en se dirigeant dans l’espace, l’utilisateur tombe sur des hologrammes de personnes ce qui les contraint à s’arrêter pour les écouter. C’est en quelques sortes du dirigisme.

Une autre figure rhétorique évidente est la manipulation. Ce composé consiste en une action de pouvoir bouger librement un objet en créant des mouvements.  À l’aide du joystick, l’utilisateur se déplace dans l’espace de gauche à droite et de haut en bas. Il n’a qu’à bouger la manette pour se déplacer dans l’univers immersif.

Il y a aussi de la mise en évidence : élément qui attire l’attention et qui suggère une direction à explorer. En écoutant des reportages sur le sujet, on se rend compte que parfois lors de la navigation on rencontre des hologrammes. Ces personnes nous proposent des itinéraires à explorer. Évidemment le choix de prendre l’itinéraire proposé ou non, demeure entre les mains de l’utilisateur.

Finalement, l’utilisateur subit tout au long de l’expérience de la simulation. Cela consiste à un changement de représentation immédiatement visible. En se déplaçant dans l’univers immersif, l’utilisateur a la chance de voir en temps réel ses déplacements. C’est donc de la simulation.


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