mardi 17 mai 2011

Résumé travail final

De nos jours, la technologies évoluent à un rythme ahurissant. Un homme qui s'y est intéressé dès son jeune âge est Luc Courchesne. Il est né au Québec, mais a fait ses études supérieurs au Canada anglais et aux États-Unis. Cela aura porté fruit puisqu'aujourd'hui il a présenté ses oeuvres dans plus de 80 expositions à travers le monde. Actuellement, il vit à Montréal, et y travaille à l'École de design industriel. Récemment il a créé le Panoscope 360, dispositif qui permet l'immersion totale d'un ou plusieurs utilisateurs dans un monde virtuel. L'usager peut se déplacer et explorer l"univers grâce à un joystick.

 Cette installation s'incrit dans les médias interactifs, média qui est à la fois évolutif et adaptatif. Ses médias se transforment en temps réel puisque leur environnement est partiellement intelligent. Aussi le Panoscope 360 est interactif. L'interactivité est la relation qui réuni l'utilisateur au contenu, en fait c'est comme une grosse toile d'araignée dont la structure dépend de chaque liens. Le Panoscope 360 est interactif puisque l'utilisateur peut se déplacer et dont évoluer dans l'espace virtuel. Le Panoscope appartient à la catégorie de média interactif appelé les installations, et est de type immersif. 

Le Panoscope est considéré comme un spectacle, mais pas un spectacle conventionnel puisqu'il a vécu les deux mutations. La première est la désynchronisation et délocalisation du spectacle. Cela veut dire qu'on peut voir n'importe où dans le confort de chez sois et ce peu importe le moment. La deuxième mutation concerne le spectateur. Il s'agit de sa réinsertion dans le spectacle. Autrefois, le spectacle était très distinct du publique, mais maintenant, souvent l'un ne va pas sans l'autre ! Le Panoscope est un mélange des deux puisque l'on peut être partout à tout moment et que c'est le spectateur qui contrôle le résultat. 

Dans chaque domaine, il y a des révolutionnaires et dans les environnement immersifs il s'agit de Morthon Heilig et d'Ivan Sutherland. Morthon Heilig pour son Sensorama, un appareil qui permet de vivre une expérience immersive. En fait l'installation permet de vivre une balade en moto très réel, si réel qu'on peut sentir les odeurs de la route. Ivan Sutherland pour sa part a créé la première tablette de dessin informatique. Cela a ouvert la porte aux possibilités artistiques de l'in les formatique. Ce que ses hommes ont créer on mené aujourd'hui à l'apparition des environnements immersifs qui entoure l'utilisateur et le plonge dans un monde tridimensionnel, contrairement à la semi-immersion qui se passe sur deux dimensions. 

Il y a des figures de rhétorique dans tout objets d'interactivité. Un qui se trouve dans le Panoscope 360 est le dévoilement. Le principe est que les éléments apparaissent lorsque l'on explore une zone à l'aide d'un pointeur. C'est donc le cas du Panoscope 360 puisqu'à l'aide du Joystick, l'utilisateur découvre de nouveaux paysages, il s'agit donc d'un dévoilement. Ceci n'est qu'un exemple des multiples figures rhétoriques du Panoscope 360. 

mardi 3 mai 2011

Résumé : La webtélé: ruée vers l'or ou mirage?

Résumé de l'article, La webtélé: ruée vers l'or ou mirage? de Nathaelle Morissette paru sur Cyberpresse le 6 juin 2009. 


     Pour l'instant la webtélé n'est pas un nouveau medium très viable au niveau monétaire. Patrick Dion, un conseiller le site Webtv Hedo explique pourtant que le nombre de webtélé sérieuse a doublé au Québec. Il est évidemment beaucoup plus payant de travailler à la télévision ou au cinéma mais certains producteurs comme Geneviève Lefebvre continue à travailler sur le web même  si elle n'est pas convaincu qu'il y a un modèle économique viable pour cette industrie. 

     L'animatrice/productrice de la web-télé Le tapis rose, explique même qu'elle et son équipe ( à l'exception du monteur qui reçoit l'argent versé suite à la mise en ligne des capsules du Sympatico ) doivent travailler bénévolement pour la survie de la série. 

     Il faut aussi mentionné que la qualité des vidéos ne peut souvent pas atteindre la qualité de ceux que l'ont voit à la télévision puisqu'engager des acteurs d'expérience coutent souvent trop cher. Il faut aussi penser à l'équipe technique! Ce n'est pas parce que la vidéo est sur internet qu'il faut se passer d'un maquilleur-coiffeur. 

     Si l'argent n'est pas toujours au rendez-vous, l'intérêt y est. Le seule succès commerciale totale est pour l'instant les têtes à claques, toutefois Bombe Tv réalisé par Jeff Lee prouve que tout le monde peut s'il veut avoir du succès sur internet. Il explique que les réalisateur continue a créer des productions de styles télévisuelles très peu interactives qui sont vouées à l'échec sur le web. Il rentabilise le site à l'aide de commandite et s'assure que ses capsules soit vu en les partageant sur d'autres sites. On mentionne aussi qu'être présent sur plusieurs plateforme est très payant. 

Évidemment il existe aussi l'option du financement, mais très rares sont les choisies. Malgré toutes les difficultés l'industrie de la webtélé ne cessent de grandir au Québec. 

mardi 26 avril 2011

La rhétorique en interactivité ?


À ce qui parait, il y aurait des figures rhétoriques dans tout les objets d’interactivité. Vérifions quels sont les composés rhétoriques du panoscope 360. Le composé qui me semble le plus évident est sans contredis le dévoilement.  Avec celui-ci, des éléments apparaissent lorsque l’on explore une zone à l’aide d’un pointeur. C’est exactement le concept du panoscope. À l’aide du pointeur, l’utilisateur peut découvrir des zones en se déplacements dans l’espace.

Aussi, on pourrait considérer que le panoscope contient du dirigisme, composé qui restreint l’utilisateur a s’adapter au mode de fonctionnement de l’automate. Parfois, en se dirigeant dans l’espace, l’utilisateur tombe sur des hologrammes de personnes ce qui les contraint à s’arrêter pour les écouter. C’est en quelques sortes du dirigisme.

Une autre figure rhétorique évidente est la manipulation. Ce composé consiste en une action de pouvoir bouger librement un objet en créant des mouvements.  À l’aide du joystick, l’utilisateur se déplace dans l’espace de gauche à droite et de haut en bas. Il n’a qu’à bouger la manette pour se déplacer dans l’univers immersif.

Il y a aussi de la mise en évidence : élément qui attire l’attention et qui suggère une direction à explorer. En écoutant des reportages sur le sujet, on se rend compte que parfois lors de la navigation on rencontre des hologrammes. Ces personnes nous proposent des itinéraires à explorer. Évidemment le choix de prendre l’itinéraire proposé ou non, demeure entre les mains de l’utilisateur.

Finalement, l’utilisateur subit tout au long de l’expérience de la simulation. Cela consiste à un changement de représentation immédiatement visible. En se déplaçant dans l’univers immersif, l’utilisateur a la chance de voir en temps réel ses déplacements. C’est donc de la simulation.


mardi 19 avril 2011

Une vraie expérience du faux réel

          Luc Courchesne est un magnat des médias interactifs reconnu mondialement.  Il est né au Québec en 1952, et bien qu’il se soit exilé pour ses études, il y  vit toujours. Actuellement il est professeur  à l’école de design industriel de l’Université de Montréal, et travaille à la société des arts technologiques dont il est d’ailleurs un des membres fondateurs. Pour arriver là, il a étudié à Halifax au Nova Scotia College of Art ainsi qu’au Massachussets Institute of technology. Il a ensuite réalisé une trentaine d’installations interactives ou immersives, ce qui l’a mener dans plus de 80 expositions à travers le monde. Même le MOMA, musée très reconnu de New York, a accueilli notre Montréalais.

          La dernière création de Luc Courchesne est le panoscope 360. L’installation est en fait un dispositif immersif composer d’un projecteur avec lentille hémisphérique et d’un écran de projection de forme hémisphérique (hémisphérique faisant référence à un hémisphère terrestre et donc le dispositif à la forme d’une demi planète). L’installation permet au spectateur de se voir plongé dans un environnement créé autour de lui, par exemple : la ville de Toronto.  Le spectateur a même la possibilité de se promener dans l’espace à l’aide d’un joystick. Ce dispositif immersif à un avantage par rapport aux lunettes vidéo que l’on voit depuis longtemps, il permet que plus qu’une personne soit physiquement présente. L’expérience peut donc se partager.

          Le panoscope est considéré comme un média interactif immersif pour des raisons évidentes. Premièrement il est interactif puisque le spectateur peut interagir avec le contenu et évolue à l’intérieur. Ensuite, il est considéré immersif puisque le spectateur est complètement plongé dans l’univers virtuel. Étant entouré d’écran, une immersion se créer autour des spectateurs. Le panoscope fait parti de la catégorie installation et ses fonctions peuvent être multiple. On peut penser que le but est de divertir parce que les présentations sont très impressionnantes. Cela peut aussi être d’informer puisque cela permet de montrer des nouveaux paysages à des personnes qui ne pourraient peut-être pas les voir en vrai. Il est aussi possible de pencher pour émouvoir puisque le but est aussi de provoquer une émotion chez le spectateur. L’environnement créé par Luc Courchesne est un environnement complètement immersif, qui permet au spectateur d’avoir un point de vue endocentrique à travers le dispositif tridimensionnel.

          Monet, Manet, Degas… Ces noms vous disent quelques chose, eh bien c’est normal puisqu’ils sont tous des peintres qui appartiennent au courant de l’impressionnisme.  Ce qu’ils voulaient réalisés à travers leurs peintures, c’est de capter l’exactitude des rayons du soleil, de rendre les paysages extérieurs comme ils les ressentaient. Luc Courchesne est un peu comme un peintre impressionniste actuel. Il veut nous faire entrer dans la scène, dans le paysage. Le spectateur devient inclus dans le travail puisqu’il interagit directement dans l’environnement.


Panoscope 360







mardi 5 avril 2011

Everyday I'm shuffling

      Rien n'est créer par hasard... Les vidéoclips ne sont pas une exceptions. Après la venue de la télévision ( technologie audiovisuelle), la musique a cherché à utiliser cette nouvelle plateforme pour se promouvoir. Mtv est donc apparu sur les ondes et à commencé à diffuser des chansons sur trame vidéographique. Ses vidéos étaient souvent inspirées de performance live ou de film. De nos jours, on voit des vidéoclips partout. Cela se partage de réseaux sociaux en réseaux sociaux. Bien que la vidéoclip n'est pas une pratique très ancienne, elle a beaucoup évoluée avec les années. De nos jours, les vidéos qui accompagnent les succès de l'heure sont très pensées, et ajoute quelques chose à la chanson. 

      La dernière vidéo qui m'a impressionné est sans contredit 'Party Rock Anthem' de LMFAO. Les réalisateurs ont poussés très loin toutes les facettes de la réalisation pour arriver à ce résultat. La première chose que l'on doit savoir à propos de la vidéo c'est qu'elle en quelques sortes une parodie du film " 30 jours de nuit''. Dans ce film les zombies ont recouvert la terre, et les survivants doivent se cacher pour ne pas en devenir un à leur tour. Dans la vidéo, la terre est recouverte de personnes qui ne sont plus capable de s'arrêter de danser. La nouvelle chanson de LMFAO les a transformer en zombie danseur. Les chanteurs doivent donc faire comme si eux aussi étaient possédé par la musique pour ne pas tomber dans le même état. On voit ici la forte influence cinématographique puisque l'on cherche à récréer un film. 

      Un autre fait intéressant à propos du fond est que la majorité des personnages présent dans le clip sont des personnages présent lors de clips précèdent. Un bon exemple serait le robot qui était présent dans leur clip antérieur 'Yes' et qui est aussi présent dans ' Party Rock Anthem'  

Robot dans le clip 'Yes'
Robot dans le clip ' Party Rock Anthem'













      Bon passons à la forme. Le traveling est très utilisé surtout pour suivre les personnages, mais aussi pour nous permettre de voir plus loin dans l'image. Les travelings dans ce vidéo aident à conserver la continuité visuelle pour ne pas briser l'effet de fenêtre sur le monde. Aussi, un peu à la manière de Thriller de Michael Jackson un long moment est consacré à la mise en contexte du clip. La musique ne commence que 1:55min après le début du clip. La plongée est utiliser en plan très large pour démontrer l'effet de transe des danseurs. Tout au long de la vidéo, les membres du groupe s'adresse directement à la caméra, ce qui créer un effet complice entre le groupe et les spectateurs. En regardant la caméra c'est un peu comme s'ils nous demandaient de venir les aider. Aussi, on utilise beaucoup les spots de lumières pour créer des bandes lumineuse qui traversent l'écran. Cela donne encore plus l'impression que le monde est transformé. Finalement, on utilise parfois la succession très rapide de court extrait pour donner une continuité visuelle et sonore. Puisque la musique est très rythmé cela suit les images et créer un effet très dynamique. Voilà pour moi en espérant que vous apprécierez la vidéo autant que moi .


mardi 22 mars 2011

Une histoire de grossesse

Papa don't preach. Madonna nous raconte tout une histoire avec ce vidéo clip. Elle raconte elle même à l'aide de contacte visuelle, de flashback et d'extrait de sa vie actuelle l'histoire qu'elle s'efforce de partager. On parle alors ici du genre conversation en récit imagé de fiction. La star des années 80 nous raconte son histoire. Dans un contexte de grand débat sur l'avortement Madonna nous avoue être enceinte et vouloir garder le bébé malgré le désaccord de ses amis. 

Le réalisateur se nomme James Foley, et à décidé de transformer le message de la chanson en une histoire bien réel. En 1986, c'était dans les premiers vidéo à raconter une histoire de manière si clair. Bien sur on avait expérimenté le récit plus tôt dans la décennies, mais en lisant d'autres blogs sur les vidéoclips plusieurs annoncent que ce qui les a le plus accroché dans le clip est la nouveauté du récit. On utilise le texte, plutôt triste pour donner le ton au récit. Dans les paroles, elle demande à son père de de pas la sermonner. Elle prône donc un peu la liberté de choix et donne donc aux femmes dans ses situations un peu d'espoir. 

Le vidéoclip est réalisé avec des couleurs non modifié pour assuré l'effet de réalisme. On utilise aussi beaucoup le flashback pour montrer qu'elle avait une belle relation avec son père. Il n'y a pas beaucoup d'effet spéciaux, mais j'ai remarqué un ralenti quand la bandes de beaux garçons fait son entré. On utilise le ralenti pour mettre l'accent sur leur arrivé. Le gros plan est parfois utilisé pour donner de l'importance à Madonna lorsqu'elle chante pour la caméra. Le reste du temps, le plan américain est vraiment très présent, surtout lorsqu'elle danse. On l'a voit des hanches vers le haut ce qui met l'accent sur le mouvement de ses bras. Aussi, le travelling est utilisé à plusieurs endroits dans le clip, mais il est surtout employé pour suivre les mouvements de la protagoniste. 


Dans les années 80, on utilisait beaucoup la forme récit dans les vidéoclip et James Foley a su faire partie de la tendance. Le clip se passant aux États-Unis on a choisi une grande ville; c'est-à-dire New York pour réaliser le film. En filmant dans un endroit si connus de tous plusieurs personnes risquent de se reconnaître et se s'associer à l'histoire. Le gros plan est aussi une caractéristique de l'époque et cherche à donner de l'ampleur à la beauté de la star. Papa don't preach est très représentatif de son époque.

mardi 8 mars 2011

A dog day afternoon

C’est en 1975 que Sidney Lumet réalisa ce film de genre policier mettant en scène Al Pacino, Jonh Cazale et James Brodwick.  On se retrouve à Brooklyn le 22 août 1972 en compagnie de trois gangsters amateurs qui braquent une banque et prennent en otage les employés et leur directeur.  Les mécréants seront rapidement cernés par la police et entameront une négociation serrée.  Ils feront plusieurs demandes dont celle d’avoir accès à un avion.  La foule amassée à l’extérieur de la banque s’éprendra de passion pour les voleurs maladroits, révoltera contre l’autorité policière et changera le cours du récit.

8 Mars 2011, 9 :58AM.  C’est en classe, dans un milieu fermé, sur YouTube et à partir d’un ordinateur que j’ai regardé Ce film.  Une activité interactive, en ce sens ou j’ai commandé à la machine, via une suite logique d’actions, de faire jouer la production de cette commémoration à 30% réel[1] .  En effet, le film est inspiré d’une histoire vraie, mais très fortement romancé.  Bref, il s’agit d’une fiction inspirée du réel.  L’effet est purement divertissent.

Regarder la reprise fictive de cette histoire sur Youtube est certes bien différent que d’avoir assister à la vraie scène en tant que spectateur.  Le contexte aurait été immersif et réel et l’interactivité (média) aurait été nulle.  Le type de spectacle aurait été un braquage de banque en direct, car j’aurais été sur les lieux de la réelle représentation.  C’est d’ailleurs dans un lieu ouvert (à l’extérieur), à un autre moment et sans utilisation de machine que la scène se serait déroulée.



En collaboration avec Yannick Leblanc