mardi 22 mars 2011

Une histoire de grossesse

Papa don't preach. Madonna nous raconte tout une histoire avec ce vidéo clip. Elle raconte elle même à l'aide de contacte visuelle, de flashback et d'extrait de sa vie actuelle l'histoire qu'elle s'efforce de partager. On parle alors ici du genre conversation en récit imagé de fiction. La star des années 80 nous raconte son histoire. Dans un contexte de grand débat sur l'avortement Madonna nous avoue être enceinte et vouloir garder le bébé malgré le désaccord de ses amis. 

Le réalisateur se nomme James Foley, et à décidé de transformer le message de la chanson en une histoire bien réel. En 1986, c'était dans les premiers vidéo à raconter une histoire de manière si clair. Bien sur on avait expérimenté le récit plus tôt dans la décennies, mais en lisant d'autres blogs sur les vidéoclips plusieurs annoncent que ce qui les a le plus accroché dans le clip est la nouveauté du récit. On utilise le texte, plutôt triste pour donner le ton au récit. Dans les paroles, elle demande à son père de de pas la sermonner. Elle prône donc un peu la liberté de choix et donne donc aux femmes dans ses situations un peu d'espoir. 

Le vidéoclip est réalisé avec des couleurs non modifié pour assuré l'effet de réalisme. On utilise aussi beaucoup le flashback pour montrer qu'elle avait une belle relation avec son père. Il n'y a pas beaucoup d'effet spéciaux, mais j'ai remarqué un ralenti quand la bandes de beaux garçons fait son entré. On utilise le ralenti pour mettre l'accent sur leur arrivé. Le gros plan est parfois utilisé pour donner de l'importance à Madonna lorsqu'elle chante pour la caméra. Le reste du temps, le plan américain est vraiment très présent, surtout lorsqu'elle danse. On l'a voit des hanches vers le haut ce qui met l'accent sur le mouvement de ses bras. Aussi, le travelling est utilisé à plusieurs endroits dans le clip, mais il est surtout employé pour suivre les mouvements de la protagoniste. 


Dans les années 80, on utilisait beaucoup la forme récit dans les vidéoclip et James Foley a su faire partie de la tendance. Le clip se passant aux États-Unis on a choisi une grande ville; c'est-à-dire New York pour réaliser le film. En filmant dans un endroit si connus de tous plusieurs personnes risquent de se reconnaître et se s'associer à l'histoire. Le gros plan est aussi une caractéristique de l'époque et cherche à donner de l'ampleur à la beauté de la star. Papa don't preach est très représentatif de son époque.

mardi 8 mars 2011

A dog day afternoon

C’est en 1975 que Sidney Lumet réalisa ce film de genre policier mettant en scène Al Pacino, Jonh Cazale et James Brodwick.  On se retrouve à Brooklyn le 22 août 1972 en compagnie de trois gangsters amateurs qui braquent une banque et prennent en otage les employés et leur directeur.  Les mécréants seront rapidement cernés par la police et entameront une négociation serrée.  Ils feront plusieurs demandes dont celle d’avoir accès à un avion.  La foule amassée à l’extérieur de la banque s’éprendra de passion pour les voleurs maladroits, révoltera contre l’autorité policière et changera le cours du récit.

8 Mars 2011, 9 :58AM.  C’est en classe, dans un milieu fermé, sur YouTube et à partir d’un ordinateur que j’ai regardé Ce film.  Une activité interactive, en ce sens ou j’ai commandé à la machine, via une suite logique d’actions, de faire jouer la production de cette commémoration à 30% réel[1] .  En effet, le film est inspiré d’une histoire vraie, mais très fortement romancé.  Bref, il s’agit d’une fiction inspirée du réel.  L’effet est purement divertissent.

Regarder la reprise fictive de cette histoire sur Youtube est certes bien différent que d’avoir assister à la vraie scène en tant que spectateur.  Le contexte aurait été immersif et réel et l’interactivité (média) aurait été nulle.  Le type de spectacle aurait été un braquage de banque en direct, car j’aurais été sur les lieux de la réelle représentation.  C’est d’ailleurs dans un lieu ouvert (à l’extérieur), à un autre moment et sans utilisation de machine que la scène se serait déroulée.



En collaboration avec Yannick Leblanc