mardi 22 février 2011

les multiples dimensions du 3D!


Pour moi le cinéma 3D se situe à mi-chemin entre la performance et le spectacle. Je crois qu’il est difficile de situer les films 3D dans un catégorie, puisqu’il n’y a pas vraiment d’interaction  ni entre les utilisateurs, ni avec la machine. Le 3D a des points communs avec le spectacle et la performance puisque le spectateur assiste sans toutefois interagir avec le contenu. Il faut aussi ajouter qu’on est plongé dans un univers subversif, mais je ne crois pas que l’on puisse apparenter le 3D à un jeu justement à cause du manque d’interaction avec le contenu.

Le cinéma 3D, découle de l’audiovisuelle, puisque sans téléviseur ou salle de cinéma, le 3D n’est pas possible. J’ai été étonné de constater que le 3D a été inventé bien avant la projection de film. Les premières expériences 3D furent constatées en 1838, tandis que selon l’internaute.com le premier film des frères Lumières : La sortie des usines Lumières, fut projeté pour la première fois en 1895. En poussant un peu plus j’ai découvert que le 3D fut d’abord photographique puis cinématographique.

Il y a deux manières de voir les choses en ce qui a trait au dire que le 3D en est à sa huitième réincarnation. Certain diront que puisque le cinéma est le 7e art le 3D serait la 8e, mais selon moi c’est plutôt parce que le phénomène est venu et disparu à de multiple reprise au niveau de l’histoire. Je crois que les gens se lassait parce que la technologie n’était pas assez poussé ou peut-être que ce n’est pas tout le monde qui apprécie le phénomène. Selon Sophie Morisette de Cyberpresse, le nombre de film 3D ne fera qu’augmenter avec le temps.

Il y plusieurs différences entre le 2D et le 3D, les adeptes vous dirons que le 3D nous plonge dans un univers immersifs qui nous plonge encore plus dans le film, alors que ceux qui apprécie moins prétendent que cela enlève de la valeur au film puisque l’on remarque à tout coup que c’est du 3D.

La compagnie Sensio développe un système de cinéma maison 3D, pour l’instant leur réalisation sont encore souvent présenté en salle, comme lorsqu’ils filment des évènements sportifs, mais ils sont promus à un beau futur.

La stéréoscopie à pour but de reproduire un effet 3D à partir de deux images planes.

Ils est avantageux pour un studio de cinéma de produire du 3D, puisque le produit se vend plus cher et donc cela génère plus de profit.

Dorénavant, il est plus dure de copier des films 3D, puisqu’il faut une caméra spécialement adaptée, le piratage est donc de plus en plus difficile.










jeudi 17 février 2011

Une web-télé hors norme.

Ce n'est ni une série documentaire, ni une fiction ; mais c'est bien une web-télé. Ici je parle de BombeTv, un magazine culturel sous forme de web-télé. Bombe.tv, c'est une bande de jeunes Montréalais qui nous font découvrir tout et n'importe quoi. Ils nous amènent dans les endroits les plus fous et inimaginable. Elle se différencie des autres en tant que web-télé parce que son contenu est très différent. Ils sont maintenant commandité par en autre vidéotron. Ils ont fait leur renommé avec un de leur premier vidéo, c'est-à-dire : Tout le monde aime Éric Salvail, qui est rapidement devenu virale au Québec. Comme mentionné plus haut, ce n'est ni un documentaire ni une fiction. Personnellement je décrirais le contenu comme un magazine culturel. On peu dire que c'est une production originale parce que même si leur contenu a été rediffusé à la télévision, il a été créé pour le web. Ils ont même créé leur propre site web pour y déposer leurs vidéos. Je dirais que le niveau d'interaction est à 3, car il est possible de commenter les vidéos sans toutefois les contrôler. Selon moi, il y a beaucoup plus de liberté en web-télé, car si on est sur notre propre platteforme, il n'y a personne pour restreindre le contenu. Un avantage évident est que le contenu est disponible en tout tant.



Je vous conseille : http://www.bombe.tv/
Voici Jeff Lee et Isaac Larose: deux des animateurs de bombe.tv

mardi 8 février 2011

Juste bonne à critiquer les autres...

Moi, je suis d'abord comme 19% des utilisateurs des réseaux sociaux j'ai le profil de la critique. Je ne suis pas du genre à signer des billets exprimant mes moindres opinions sur les sujets de l'heure, j'aime mieux critiquer ceux des autres. Ne jouons pas à l'autruche, c'est si facile critiquer le travail et les opinions des autres. Je crois que j'emprunte le chemin de la facilité pour ce coté de mon utilisation. Cependant, il y a un petit coté de moi qui est créateur, pas par des billets, mais plus par des photos. Eh oui, je suis cette utilisatrice qui quand son repas au restaurant à l'air trop appétissant se laisse prendre à le 'poster' sur Facebook. Sa c'est moi je me confesse. Je suis une vraie petite 'kid kodak'. Le seul réseau social que j'utilise activement est Facebook. Non, je ne suis pas original, mais au moins je suis honnête. Je suis donc une utilisatrice de réseau sociaux de masse. Le meilleur avantage d'utiliser Facebook est que presque tout le monde en a un, il est donc facile de garder contact avec tout son réseau social, et c'est vraiment ce que je recherche dans les réseaux sociaux. Le seul désavantage c'est le nombre exagéré de courriel que nous recevons. Chaque fois que quelqu'un commente ta photo ou te laisse un message, un courriel t'es envoyé pour t'avertir. Selon moi, c'est loin d'être nécessaire. Toutefois, il  y a toujours des solutions comme se créer une adresse courriel dédié exclusivement à Facebook. Il y a toujours une solution.

Le petit blogue d'un grand humoriste

Martin Petit lance son blogue. Il décide donc de choisir le web dynamique pour lancer son message. Son site, c’est un blogue hobby. Grâce à ce petit journal il tente de séduire les gens en leur donnant l’impression d’être plus près de lui. C’est une manière simple et peu coûteuse de s’auto-promouvoir. Il signe des articles relatant le dernier livre qu’il a lu ou bien son opinion sur des vidéos qu’il aime.  C’est carrément écrit sur avec un ton persuasif, car il nous partage son opinion et tente de se faire aimer par le fait même.  Les billets sont présentés avec un graphisme simple et efficace. Les petits textes sont accompagnés de vidéos et d’images pour illustrer leur sujet. Évidemment l’auteur du site est nul autre que Martin Petit, et c’est très pertinent puisqu’il parle de ce qu’il aime.  De plus, les titres sont très accrocheurs. Souvent, notre curiosité est piqué à vif avec des titres subjectif.  Je trouve le site globalement intéressant puisqu’on peut découvrir de nouvelles choses à travers les articles de Martin Petit. Fan ou pas, le site convient à toute personne curieuse.

mardi 1 février 2011

Slow Media : l'ermite moderne

Quand j’étais petite, j’adorais le chocolat. Je ne dosais rien, si je pouvais manger cinq palettes et bien je le faisais. Avec le temps j’ai apprit à me contrôler, car je sais qu’abuser des bonnes choses n’est jamais bien. Je crois que c’était la nouveauté du goût si sucré qui me faisait abuser de la chose. Les médias actuels, c’est un peu comme le chocolat : c’est nouveau et c’est bon. On vient tout juste de le découvrir alors c’est un peu normal que certain travaille encore sur le dosage. Les gens retombent en enfance avec ses outils et perdent leurs bons sens. Je suis totalement pour l’usage des réseaux sociaux, car selon moi aujourd’hui Facebook c’est l’équivalent du perron de l’église autrefois. On discute, on potine et on partage des photos. On se donne des nouvelles quoi. Refuser d’utiliser ses outils par peur d’en être prisonnier c’est un peu comme refuser de manger une pointe de gâteau au chocolat puisqu’on croit qu’on ne pourrait plus s’arrêter. Évidemment personne ne le ferais pour une raison si absurde. Alors pourquoi se privé des nouveaux médias. Je crois que ceux qui refusent leurs aides s’isolent tout simplement. Avec le temps, je crois naïvement que peut-être les gens apprendrons à doser… ou peut-être pas, l’avenir nous le dira !